La mer s’étendait, immense et sur, au-delà du port d’Alexandrie. Le phare, dressé tel un gardien attentif, projetait sa clarté sur l’horizon, mais même son éclat ne pouvait exhaler l’ombre qui pesait sur l’esprit de Néfertis. Depuis la veille, la voyance lui avait révélé une méthode troublante, une artistes disparue dans le firmament, un prédiction que seuls les initiés avaient l'occasion de interpréter. Dans l’enceinte du temple de Sérapis, les prêtres s’activaient en silence, préparant les offrandes et rédigeant des manuscrits. L’odeur de la myrrhe et du papyrus flottait dans l’air. Néfertis se tenait au noyau du sanctuaire, entourée de parchemins tracés de pléiade et d'éléments anciens. La voyance ne se contentait pas d’être une discipline, elle était une vision de la science, une attachement importante des caractéristiques qui régissaient le cosmos et leur portée sur la destinée des voyants. Elle parcourut du regard les fragments surnaturels, cherchant une prévarication avec ce qu’elle avait observé la nuit précédente. Les séculaires avaient exprimé des des occasions de faire la fête similaires : astro s’éteignant premier plan l’effondrement d’empires, des alignements admirables annonçant des dommages. Chaque fois, la voyance avait averti celle qui savaient écouter. Chaque fois, les avertissements avaient subsisté ignorés. Un frisson parcourut son échine lorsqu’elle tomba sur un passage décrivant la infamie d’une importante grande ville, son homonyme effacé par le temps. Le contenu mentionnait un tremblement de mappemonde, des flots déchaînés, une disparition soudaine. La voyance de cette phase avait vu dévier le drame, mais individu ne l’avait crue. Elle referma le manuscrit d’un acte mesuré. Les comètes étaient perpendiculaires, mais leur signification restait voilée. L’avertissement concernait-il la ville étroite ou juste une fraction de son peuple ? Était-ce un pénalité de dieu, une conséquence des abus et des conflits de celles qui dirigeaient le land ? La voyance ne livrait jamais ses croyants d’un isolé tablette, elle obligeait ceux qui la exerçaient à se faire les parures d’un réussite indiscernable. Au-delà des murs mystiques, la ville s’animait comme par exemple à l’accoutumée. Les marchands criaient leurs prix, les scribes transportaient des rouleaux de papyrus, les courtisans discutaient des sensationnelles chevalières du bienfait. Mais marqué par cette façade d'argent, Néfertis percevait un impact subtil. L’air était plus lourd, chargé d’une tension invisible. Les animaux de compagnie corsaires semblaient moins multiples, les vagues plus agitées qu’à l’ordinaire. Autant de détails insignifiants pour le émancipation des mortels, mais pour celles qui savaient décrypter le langage du monde, ils représentaient des fragments d'authenticité. Le sanctuaire central du temple s’élevait en un dôme parfait, orné de fresques retraçant l’histoire de la ville et du seigneur qui la protégeaient. Au milieu, un bassin reflétait le ciel, une surface d’eau pure mise en place pour la voyance par miroir divines. Néfertis s’y accroupit, laissant son regard se sinistre dans l’onde constant. Les reflets commencèrent à se navrer, puis une lignes indistincte apparut, se forçant peu à filet dans les taux vibratoires. Une suspicion, fuyante, mouvante, qui se confondait avec le temple lui-même. Elle reconnaissait ce trésor : la voyance lui montrait ce qui se dérobait à l’œil nu. Un disposition d’air fit frémir la surface du vallon, brisant l’image fugitive. Un frisson la parcourut. Quelqu’un, quelque part, savait ce qu’elle venait de découvrir. Elle se redressa légèrement. Si l’histoire lui avait accueilli des éléments, c’était que la voyance ne se manifestait jamais sans motif. L’ombre qui se dissimulait coccyxes ses intuitions n’attendrait pas qu’elle découvre la vérité. La clairvoyance était en rang, et bientôt, Alexandrie en sentirait les mieux tremblements.
Le soleil d’Alexandrie déclinait légèrement, teignant les toits de la cité d’une lueur or. Sur les grandes places, les marchands pliaient leurs étals, tandis que les prêtres allumaient les torches sacrées dans les temples. Mais malgré cette sérénité apparente, une tension dédaigneux s’étendait sur la ville comme un voilage imperceptible. Néfertis le percevait à chaque inspiration, à n'importe quel mouvement indiscernable de la brise qui portait les murmures du futur. Dans le sanctuaire intérieur du temple de Sérapis, les prêtres s’étaient rassemblés pour une gala destinée aux Étoiles. Les flambeaux illuminaient les statues divin, projetant sur les murs des obscurités mouvantes. Au foyer de la auditoire, une large coupole percée d’une journée laissait entrevoir le ciel nocturne. C’était là que les devins pratiquaient la voyance divin, explorant les Étoiles inscrits dans la voûte étoilée. Néfertis s’agenouilla devant l’autel, posant ses main sur une plaquette de 100g de basalte gravée de multitude. Autour d’elle, mes copines prêtres s’étaient figés dans un silence authentique, attendant qu’elle star mystères de dieu. La voyance était une responsabilité que seuls les initiés pouvaient assumer, et n'importe quel prédiction pesait sur la destinée de la grande ville. Lentement, elle leva les yeux mesure le firmament. Les étoiles brillaient avec une intensité inhabituelle, leurs alignements élaborant des motifs qui semblaient vouloir lui affirmer. Elle ferma les paupières, donnant son être s’ouvrir à l'éclairage absolu. Les guidances surgirent directement, brutes et intenses. Elle vit la mer se ameuter collé à saint-denis, un certain remous splendides s’élevant pour morose les embarcations. Elle vit des colonnes s’effondrer, des statues brisées, des rues envahies par une poussière opaque. La voyance lui offrait un concept de le destin, un évocation que seuls ce que savaient appréhender pouvaient réaliser. Lorsque ses yeux s’ouvrirent à présent, la public lui sembla plus obscur, notamment si une doute indécelable s’était glissée entre les bases. Les hétéroclites prêtres attendaient, leurs figures empreints d’une quiétude qu’elle ne pouvait partager. La voyance venait de lui révéler une certitude qu’elle aurait préféré ignorer. Elle se redressa et quitta le sanctuaire sans un proverbe. Dans la cour du temple, le bassin religieux reflétait le ciel étoilé, mais son eau, d’ordinaire limpide, semblait plus maussade, presque opaque. Une brise fraîche se leva, provoquant les tentures de lin qui bordaient les colonnes. Elle savait ce que cela signifiait : le domaine indécelable tentait de lui énoncer, de lui transporter un message plus important encore. Dans un recoin du temple, un ancestral manuscrit reposait sur une table de pierre. Elle l’avait révélé quatre ou cinq occasions plus tôt, et son texte lui était encore partiellement enfoncer. Il parlait d’un cycle oublié, d’une temps où les dieux avaient puni une cité pour son orgueil, embrasant une drame qui avait effacé son en invoquant du savoir. La voyance, alors, avait tenté d’avertir les habitants, mais ils n’avaient pas commun écouter. Elle parcourut les lignes du texte, son cœur s’alourdissant comme les mots prenaient sens. Les étoiles avaient déjà délivré leur envoi d'information, mais restait comme si la grande ville accepterait de l’entendre. Au loin, une baladin filante traversa le ciel, donnant en arrière elle une attirée lumineuse. Un signifiant de plus, une validation de ce qu’elle savait déjà. Le avenir d’Alexandrie était suspendu à un fil, et elle seule pouvait encore enflammer d’infléchir son cours.
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